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C’est incroyable l’illusion de profondeur que l’on obtient avec juste deux frames… (et j’adore les dessins au bic !).
Certains des monstres de la série de dessins par Dain Fagerholm, visible ici me rappellent les bizarres créatures de Tove Jansson dans les livres Moumine. J’adore.
Je viens de découvrir une série de magnifiques photos représentant des aires de jeu russes, dont les « cages à écureuils » et toboggans sont des fusées.
Des fusées colorées, usées et rouillées, pointant vers les étoiles : elles datent de l’époque soviétique, la grande époque du programme spatial russe.
Beaucoup de nostalgie et de mélancolie dans ces vieux symboles enfantins de gloire et d’aventure laissés à l’abandon.
A découvrir sur le site de l’auteur
Vue sur l’appartement abandonné juste à côté, de la fenêtre de notre salle de bain… Un poupon au crâne défoncé est apparu depuis aujourd’hui, enfin en tout cas je ne l’avais jamais remarqué avant. Il a l’air de léviter, vu d’ici.
UPDATE : hier 21 février, il a disparu, aussi soudainement et mystérieusement qu’il était apparu. Quelle était sa mission ? Où est-il allé ?
Le volume 4 des Cahiers du Jeu Vidéo est enfin dispo !!
Consacré aux femmes dans le jeu, j’ai eu la grande chance et l’honneur de le co-diriger avec Tony Fortin. Un an de travail car il fut assez difficile à mettre en place faute de gros moyens, mais le voilà, enfin je ne l’ai pas encore entre les mains, mais ça ne saurait tarder. Et j’en suis par avance très fière !
Une quinzaine d’articles sur des thèmes variés et pointus, écrits par des passionnés, avec en prime une iconographie démentielle… Sans parler de la couv, un hommage à une certaine affiche de film que les connaisseurs auront reconnu. Une Peach-monstre, n’ayant de « féminin » que des lambeaux de robe rose, pour une révolte rageuse et ludique ! Il reste tellement de robes roses et de clichés à mettre en pièces… ce que, j’espère, nous aurons réussi à faire dans cet ouvrage. (voir sommaire et extraits plus bas)
En voici le sommaire :
1- Who’s that girl? (Laurent Jardin) Allongé sur le divan du psy, un joueur raconte les femmes de sa vie vidéoludique
2- L’Ennemi féminin (Sachka Duval) Analyse de l’usage du féminin dans la création des monstres de jeu vidéo
3- Femmes made in Japan (Reynald François) Stéréotypes féminins japonais, mythes et faits de société
4- Comme un homme, une femme à abattre (Cyril Lener) Dans les jeux de baston, les femmes se battent-elles à armes égales ou sont-elles des victimes déguisées en combattantes ?
5- Geek = XY ? (David Peyron) La culture geek serait-elle masculine par essence mais surtout par nécessité ?
6- Des femmes au combat ? (Tony Fortin) Implications politiques et historiques du modèle de virilité imposé par les jeux de guerre – un modèle qui se fissure ?
7- Moules persistants (Stéphane Fauteux) Comportements sexués et transgressions dans les MMO
8- Un homme dans un corps de femme (Pia Mesa) Parcours d’une femme journaliste dans l’univers très masculin de la presse JV
9- Le Sexe du gameplay (Sachka Duval) Comment un gameplay peut-il traduire une certaine idée des relations hommes/femmes ?
10- Qui a peur de Bayonetta ? (Marion « Moossye » Coville) Comment et pourquoi le personnage féminin le plus sexy du monde a su conquérir les joueuses
11- La Femme invisible (Maïa Mazaurette) Mise au jour du plan machiavélique des développeurs visant à exclure les femmes du jeu vidéo
12- Un Héros un peu queer (Anthony Jauneaud « le Yéti » et Tony Fortin) Homosexualité, aliens et brouillage des genres dans le jeu vidéo
13- Rencontre avec Jane Jensen (Reynald François) Interview de la célèbre créatrice de Gabriel Knight sur la place des femmes dans le JV
14- Le Bal des actrices (Laurent Jardin) Rencontres avec plusieurs actrices prêtant leur voix à des personnages de jeu vidéo
15- We can do it! (Frédéric Lepont) Rencontres avec des femmes travaillant dans l’industrie du JV canadienne
Et en prime, une photo prise pendant le podcast Gameblog organisé en partenariat avec Pix’n Love, dans lequel j’étais invitée pour parler des femmes qui jouent (curieuse bête) en compagnie de Moossye et de Force Rose.
Ce week-end c’est la fête du cerf à Brightfalls. Méfiez-vous de l’ombre des grands pins…
(et si vous ne voyez pas de quoi je parle, dépêchez-vous d’acheter Alan Wake ! – et le DLC « The Signal », juste excellent)
Et dans un registre complètement différent, je souhaite la bienvenue à Spaceman sur ma planète Mars : c’est officiellement le premier humain à y poser le pied. Bienvenue, et surtout bonne chance…
L’atomic blaster ne sera pas de trop je pense. Au pire, s’il se fait défoncer le portrait c’est pas bien grave, on m’a livré une planche de visages de rechange, dont un visage féminin rétro que je tenterai peut-être :) (sinon y a le visage de Bush jr dans le lot, amis du bon goût…).
C’est le petit cadeau que je me suis offert pour célébrer le dernier carton déballé. Ça y est, c’est la rentrée, fini le camping !
Marseille a dû être une jolie ville, mais je me demande à quelle époque. J’habite près du vieux port, dans une large rue d’immeubles « haussmanniens » élégants. Mais les façades sont couvertes d’une épaisse couche de crasse, et pire, de nombreux appartements sont manifestement vides et à l’abandon depuis des années. Persiennes branlantes, fenêtres à moitié barricadées ou cassées, portes cadenassées couvertes de rouille… Le contraste avec les nombreux balconnets, cariatides, bas-reliefs et décorations diverses est assez frappant. Ça a dû être un quartier chic, il y a bien longtemps.
L’un des endroits que je préfère dans ma rue, c’est la devanture d’un salon de coiffure ancien. Il a dû être assez attrayant autrefois. La porte est assez monumentale. Son store en corbeille, fait d’un tissu fleuri, est tout déchiré, et son galon à pompons pendouille tristement. Son enseigne surtout est magnifique, avec ce profil façon camée, ces deux prénoms, Claude et Josette, et sa référence à ce qui a sans doute été un cosmétique en vogue, « Paro Star ». A moins que cette devanture ait été déjà rétro en son temps, je lui donne bien cinquante ans d’âge. Elle semble avoir une histoire à raconter.
Je pense au salon de barbier de Chaplin dans Le Dictateur, abandonné entre les deux guerres mondiales : son propriétaire amnésique finissait par y reprendre ses habitudes, sans remarquer l’amoncellement de poussière et de toiles d’araignée. Je pense aussi à Cendrillon et à la transformation de minuit, ou à toutes les histoires de villes hantées qui s’animent la nuit et meurent au petit matin. Il se trouve que je passe chaque matin devant cette boutique à l’heure précise où l’ombre se retire : le soleil a l’air de révéler sa misère présente, et de faire entrevoir l’espace d’un instant le charme désuet qu’elle avait autrefois, et qu’elle avait peut-être le temps de la nuit.
Si je savais m’y prendre, j’irais sûrement tenter de pénétrer en douce dans ce salon pour voir ce qui s’y cache…
Tout cela résonne assez bien avec la partie de Red Dead Redemption que j’ai commencée il y a quelques semaines maintenant. Des maisons désertes, des villages fantômes, on en rencontre à foison. Des histoires d’illusions morbides aussi, comme les éternelles rengaines de la mariée qui attend son promis depuis vingt ans, ou de l’homme qui parle au cadavre desséché de sa femme. Pas très original ni très subtil : j’attendais mieux de ce jeu, et suis pour l’instant assez déçue.
Mais après Alan Wake, beaucoup de narrations vont me sembler faibles, c’est évident. J’aimerais revenir très bientôt sur le cas de Heavy Rain, qui mérite le détour, maintenant que je suis moins fraichement énervée par tous ses défauts. En attendant je recommande la lecture de la série d’analyses de Nicolas Jaujou sur son blog : on y trouve une image d’Ethan nu mais surtout des réflexions très intéressantes sur le gameplay, l’ergonomie et la narration dans Heavy Rain.
Au coin d’un mur de brique, il fait le guet, prêt à mitrailler le premier mutant qui tenterait d’escalader le balcon…
Petite mise à jour de mon armée de monstres et robots venus d’ailleurs ! Pas mal de recrues depuis la dernière fois que j’en ai parlé ici, quelques robots et explorateurs plus ou moins vintage, un Bobba Fett, un bibendum chamallow (Mister Stay Puft pour les connaisseurs), deux Jawas aux yeux lumineux, Mister B. et un marine robot immatriculé JEA 80.
Je ferai plus de photos de tout le monde quand il fera beau, mais aujourd’hui c’était le tour de ce dernier. Un très beau modèle, très texturé, avec plein de détails (les sacoches, les munitions…). Réalisé d’après les oeuvres de l’artiste Ashley Wood qui, je trouve, font forte impression.
Et une petite photo de groupe volée aux archives de l’armée… Bientôt la conquête du monde !
… à des Donuts tout simplement. Cette pâtisserie d’éponge de graisse saupoudrée de sucre coloré, oui, ce truc immonde inventé outre-Atlantique, voilà pour quoi se damnent les hommes de fer blanc. Est-ce une loi secrète de la robotique ? Peut-être, car les robots semblent prêts à tout pour un bon donut géant.
Des « tin toys », de l’absurde et du kitsch pâtissier : c’est officiel, je suis fan de l’oeuvre de l’artiste Eric Joyner.
Première visite au Musée du Quai Branly, à l’occasion d’une expo consacrée à Tarzan !
C’est un endroit vraiment très beau, et agréable à visiter : moderne, à l’écart des rues derrière un écran de verre et de verdure, organisé comme un réseau de promenades tant l’extérieur qu’à l’intérieur. Le café offre quelques menus en rapport avec les civilisations exposées, on peut y faire une pause en terrasse.
L’expo Tarzan était très sympa : extraits de vieux films et de vieilles BD, jouets, éléments du musée tels que armes, costumes tribaux, etc. On pouvait y trouver quelques kitscheries croquignolettes comme Babou le singe acrobate.
J’ai surtout adoré le musée lui-même, et sa partie océanienne. L’art y est tellement différent de ce à quoi on est habitué ici, je serais presque tentée de croire à une théorie d’un débarquement alien à une époque reculée. ;)
On y trouve des crânes humains décorés : l’un d’eux avait une étrange lame de bois plantée en travers de la figure, un autre des pustules rouges collées sur un faux nez… Ça me paraît tellement étrange et mystérieux !
Les sculptures de bois étaient aussi très impressionnantes : des pyramides humaines très hautes, ou des tambours-silhouettes extrêmement stylisés qui m’évoquent les Hattifnats de Tove Jansson (des fantômes longs et minces qui dérivent sur des radeaux, immobiles sauf leurs petites mains). C’est tellement fin, tellement non réaliste, tellement élégant, que ça guérit radicalement de toute envie de considérer ça comme de l’art « primitif ».
Est-ce qu’on choisit ses vacances d’après ses tableaux préférés ? ^^
C’est parfois juste vital. :)
Depuis deux numéros du Dofus Mag, édité; par ankama, j’écris une sorte de feuilleton (ou une série de nouvelles à personnages récurrents plutôt) mettant en scène deux personnages en quête d’objets magiques et de trésors. Chaque épisode est un voyage et tourne autour de la découverte de l’un de ces artefacts enchantés.
Le premier était un bas de laine qui produisait autant de pièces d’or que désiré, mais se déchirait à chaque souhait… Sachant que sa destruction emporterait du même coup l’âme du possesseur (oui, une variation sur la Peau de Chagrin). Le deuxième épisode parlait d’un jeu de Tarots divinatoires inversé, capable de deviner les zones d’ombre du passé… Le troisième épisode parlera d’oiseaux de fer et d’un bricoleur d’appeaux… A paraître dans le numéro du 15 avril.
Pour chaque épisode, de superbes dessins de Mikl illustrent l’histoire. J’aime beaucoup sa vision des personnages. ^^
(Ceci est une copie du billet posté sur le Devblog officiel de Wakfu, sous le pseudonyme d’Aduline pour Ankama)
Aaaaaaaah ! enfin le soleeeeiiil !! Une semaine… ou deux ? Ou un mois ??
Ça fait combien de temps que je suis séquestrée par ce monstre ?! Pfff j’aurais jamais dû me cacher dans le sous-sol pour lire les notes secrètes de JeanDeLano… On m’avait pourtant dit qu’on y entendait des grognements bizarres, malgré le nouveau système de sécurité hyper sophistiqué… Vivement une bonne douche, je suis pleine de moukils d’ogre… Vraiment trop « affectueux », ce gros tas puant…
Je ne sais même pas comment j’ai pu m’échapper. Il m’a semblé entendre des voix, apercevoir des silhouettes… J’ai entendu courir dans l’escalier. Ça m’a réveillée, j’ai été éblouie par un flash, et cette grosse bête aussi.
J’en ai profité pour m’enfuir ! Mais je n’ai trouvé personne, juste cet appareil photo tout poussiéreux. Qui a bien pu venir ?? Pourquoi a-t-il disparu ? Pourquoi a-t-il pris ces photos ??
Elles sont d’ailleurs trop mauvaises, ça ne m’apprend pas grand chose sur l’identité de mon possible sauveur…
Encore un mystère à éclaircir. Et tout le monde a quitté les bureaux ! Hmm voyons, ils en sont où… Tiens, version 0.73 maintenant ! Cette version comporte enfin du son ! Une bonne nouvelle…
Eh bien il ne me reste plus qu’à me remettre au travail et à mener l’enquête discrètement… Il se passe des choses pas nettes ici…
Cancan fantôme au fond d’un marais, houppette rose sur lit de boue… Eau saumâtre, ciel glauque, et fleurs de baisers… Je me suis fait plaisir sur cette image. :)
C’est ma contribution à un petit webzine de potes, cette saison le thème est « bestiaire fantastique ». D’ailleurs si vous en avez marre de dessiner dans votre coin et que ça vous tente, faites-moi signe. ;)
Je commence à rattraper mon retard ici et là, je vais même pouvoir me pencher sur mes projets en cours ! (clin d’oeil à Nesk). :D
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