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Pour l’anniversaire de Ray, un petit Zoltar en Lego… J’ai toujours trouvé qu’ils avaient un air de famille, au niveau du regard :)
Si vous ne connaissez pas, Zoltar est un diseur de bonne aventure automatique qui apparaît dans le film Big (1988) avec Tom Hanks. Dans le film, Zoltar lui accorde son vœu de passer en une nuit de 13 ans à l’âge adulte. Et le gamin se retrouve à travailler dans une entreprise qui crée toutes sortes de jouets, il peut alors proposer ses propres concepts, comme par exemple une BD électronique interactive. J’ai vu le film étant petite et depuis je rêve de trouver moi aussi cet automate. Quoique Ray fait un très bon Zoltar finalement. Et à défaut de faire des jouets, on fait des jeux vidéo :)
Pour faire la figurine et sa cabine, j’ai mélangé des éléments de sets Harry Potter et Prince of Persia. Et j’ai trouvé le boîtier d’exposition ainsi que les pièces d’or et les tiroirs sur le site FireStarToys. J’ai simplement décoré la vitrine au marqueur or Posca (ce qui n’est pas moins orthodoxe que les stickers fournis par Lego, hein !), et imprimé quelques tickets avec différents messages.
Article précédemment publié sur Merlanfrit
Fin de l’été. Les vitrines vendent des pulls et les cartables sont en solde. Même si on ne fait plus sa « rentrée », il y a ce petit souffle de mélancolie et de déprime dans le fond de l’air. C’est le moment de ressortir quelques jeux aux vertus réconfortantes imparables et au parfum doux-amer de saison.
Valeurs sentimentales
Pikmin, c’est un voyage d’exploration au pays des souvenirs d’enfance. Le petit cosmonaute et sa bande de radis pensants retournent chaque feuille de pissenlit et se faufilent sous les souches à la recherche de « trésors ». Les décors rappellent les vacances dans le jardin de Mamie – ou dans le terrain vague derrière l’école, c’est selon. On retrouve un vieux yoyo terreux, un chausson de bébé, des crayons de couleur, une décoration de Noël ou même une vieille disquette. Les trésors sont en plastique, un peu usés, abandonnés : ici on ne recherche pas d’épée de précision de la chouette +12, mais uniquement des objets à la valeur sentimentale. Pour le capitaine Olimar bien sûr, ces objets seront simplement revendus sur sa planète natale, mais pour le joueur terrien c’est un peu une deuxième vie qui leur est offerte – chacun d’eux se voit attribuer un nouveau nom et un nouvel usage. Une double-lecture pleine de douce nostalgie.
A jouer sur Wii ou GameCube en attendant Pikmin 3 sur WiiU. Préférer le 2 pour une meilleure maniabilité.
Boule antistress
Katamari Damacy est un jeu unique en son genre. Un air qui reste dans la tête, une direction artistique incroyable et un gameplay mono-feature simplement génial. Pour plaire au roi du Cosmos, on roule des mondes en boule. On commence par rouler des boulettes en agglutinant sous les meubles des boîtes d’allumettes et des bonbons ; puis on change peu à peu d’échelle et on ajoute à notre boule les meubles, le chien, toute la maison elle-même puis des villes entières dans un roulage vertigineux et hypnotique. Il y a quelque chose de littéralement thérapeutique dans le fait d’attraper tout ce qui passe et de le coller sur sa boule géante, sans se préoccuper de rien. On commence par être bloqué par le moindre objet, on se cogne, on fait des détours, et puis finalement on devient plus puissant : bibelots, enfants, adultes, véhicules, tout y passe, comme si on pouvait ramasser tout ce qui nous fait obstacle dans la vie, tout ce qui nous dérange, et tout rouler en boule avant de tout balancer à la corbeille cosmique. Chaudement recommandé en période de déprime.
L’original est sorti sur PS2 ; toutes sortes de versions sont disponibles sur des plateformes plus récentes (ici Beautiful Katamari sur Xbox 360).
Coloriage gauchiste
De Blob nous propose un scénario gentiment subversif : la révolution par la couleur, contre la tyrannie de la grisaille. Le pays est occupé par les sbires du Comrade Black, tous les immeubles sont blancs, les arbres sont blancs, les gens sont enfermés dans de petits costumes-capsules gris et obligés d’effectuer toute la journée des tâches rébarbatives dans des bureaux tristes. Ça rappelle quelque chose ?… Le joueur peut alors incarner le blob de peinture sauteur qui rendra vie à la ville. Dans une logique qui rappelle le « street art » et les graffitis contestataires, on réveille chaque lampadaire et chaque mur de teintes vives, chaque couleur provoquant des sonorités différentes qui viennent s’ajouter au thème musical. Par la magie de la peinture, on transforme les prisons en cinémas et les puits d’encre en piscines publiques. Sous nos pas, l’herbe redevient verte, le silence et la grisaille laissent place à des quartiers pleins d’animation et de musique. La révolution, simple comme un coloriage ? Faire durer le temps des vacances et de la liberté, une utopie à laquelle il est doux de croire.
En plus les cinématiques des deux épisodes sont d’un tel niveau qu’elles pourraient constituer des courts-métrages indépendants :
Voir l’une des cinématiques de De Blob
Note : De Blob 2 possède un mode coop.
Bonus pour la route : Costume Quest, un cache-cache dans les feuilles mortes.
Le volume 4 des Cahiers du Jeu Vidéo est enfin dispo !!
Consacré aux femmes dans le jeu, j’ai eu la grande chance et l’honneur de le co-diriger avec Tony Fortin. Un an de travail car il fut assez difficile à mettre en place faute de gros moyens, mais le voilà, enfin je ne l’ai pas encore entre les mains, mais ça ne saurait tarder. Et j’en suis par avance très fière !
Une quinzaine d’articles sur des thèmes variés et pointus, écrits par des passionnés, avec en prime une iconographie démentielle… Sans parler de la couv, un hommage à une certaine affiche de film que les connaisseurs auront reconnu. Une Peach-monstre, n’ayant de « féminin » que des lambeaux de robe rose, pour une révolte rageuse et ludique ! Il reste tellement de robes roses et de clichés à mettre en pièces… ce que, j’espère, nous aurons réussi à faire dans cet ouvrage. (voir sommaire et extraits plus bas)
En voici le sommaire :
1- Who’s that girl? (Laurent Jardin) Allongé sur le divan du psy, un joueur raconte les femmes de sa vie vidéoludique
2- L’Ennemi féminin (Sachka Duval) Analyse de l’usage du féminin dans la création des monstres de jeu vidéo
3- Femmes made in Japan (Reynald François) Stéréotypes féminins japonais, mythes et faits de société
4- Comme un homme, une femme à abattre (Cyril Lener) Dans les jeux de baston, les femmes se battent-elles à armes égales ou sont-elles des victimes déguisées en combattantes ?
5- Geek = XY ? (David Peyron) La culture geek serait-elle masculine par essence mais surtout par nécessité ?
6- Des femmes au combat ? (Tony Fortin) Implications politiques et historiques du modèle de virilité imposé par les jeux de guerre – un modèle qui se fissure ?
7- Moules persistants (Stéphane Fauteux) Comportements sexués et transgressions dans les MMO
8- Un homme dans un corps de femme (Pia Mesa) Parcours d’une femme journaliste dans l’univers très masculin de la presse JV
9- Le Sexe du gameplay (Sachka Duval) Comment un gameplay peut-il traduire une certaine idée des relations hommes/femmes ?
10- Qui a peur de Bayonetta ? (Marion « Moossye » Coville) Comment et pourquoi le personnage féminin le plus sexy du monde a su conquérir les joueuses
11- La Femme invisible (Maïa Mazaurette) Mise au jour du plan machiavélique des développeurs visant à exclure les femmes du jeu vidéo
12- Un Héros un peu queer (Anthony Jauneaud « le Yéti » et Tony Fortin) Homosexualité, aliens et brouillage des genres dans le jeu vidéo
13- Rencontre avec Jane Jensen (Reynald François) Interview de la célèbre créatrice de Gabriel Knight sur la place des femmes dans le JV
14- Le Bal des actrices (Laurent Jardin) Rencontres avec plusieurs actrices prêtant leur voix à des personnages de jeu vidéo
15- We can do it! (Frédéric Lepont) Rencontres avec des femmes travaillant dans l’industrie du JV canadienne
Et en prime, une photo prise pendant le podcast Gameblog organisé en partenariat avec Pix’n Love, dans lequel j’étais invitée pour parler des femmes qui jouent (curieuse bête) en compagnie de Moossye et de Force Rose.
Petit défoulement après le quasi-bouclage du volume 4 des Cahiers du Jeu Vidéo « girl power » (et mini-teasing)… Va y avoir du viril, du féminin, de l’action, du sexe, et du cliché déconstruit. Et ça va être ENORME :D Sortie sous peu.
Après cet interlude rétro-sexuel, je retourne passer mes nerfs sur Resonance of Fate (mais je suis pas sûre que ça me calme), et je reprends une vie normale avec des loisirs et du temps libre.
Comment exposer le jeu vidéo ? Comment le faire découvrir ? La question se pose au moment où différents musées tentent de lui donner la légitimité et l’historicité qu’il mérite.
L’exposition « Arcade! », ouverte en région parisienne à partir de ce mardi 19 octobre, a sa propre réponse : la seule façon de montrer le jeu vidéo, c’est de proposer aux visiteurs de jouer, d’expérimenter manette en main. Le concept est vraiment prometteur : il repose sur la construction de bornes d’arcade spéciales, permettant de jouer à une série de titres, l’image étant directement projetée sur les murs. L’ambiance doit être relativement spectaculaire et immersive !
Cette expo se propose également de donner à réfléchir sur l’esthétique du jeu vidéo, et sa perception en tant qu’art, ou plus précisément en tant qu’art populaire. Le sous-titre en est « jeu vidéo ou pop art ? », ce qui justifie la sélection de jeux, assez psychédéliques dans l’ensemble, pleins de lasers, de rythmes entêtants, ou d’images hypnotiques.
Le site web dédié réunit toutes sortes d’interviews et billets pour accompagner la visite : interviews des créateurs, de théoriciens parmi lesquels Henry Jenkins ou Alexis Blanchet, ainsi que divers acteurs de la création de jeu vidéo en France. On m’a fait l’honneur de me demander d’être de ces derniers, aussi vous pouvez lire mes réponses ici. Merci à Moossye (Marion Coville) pour cette interview !
Je ne pourrai pas me rendre à l’expo pour ma part, trop loin depuis Marseille ! Mais ça vaut certainement le coup d’oeil et j’espère qu’elle viendra jusque par ici.
…
Sinon, je ne suis pas la seule à avoir eu mon quart d’heure de gloire ces jours-ci : on a proposé à mon sac à main, Karpov, de tourner dans un long-métrage. Sérieusement.
On m’a aussi arrêtée dans la rue pour le prendre en photo.
En fait, de nous deux, c’est lui la star.
Ce week-end c’est la fête du cerf à Brightfalls. Méfiez-vous de l’ombre des grands pins…
(et si vous ne voyez pas de quoi je parle, dépêchez-vous d’acheter Alan Wake ! – et le DLC « The Signal », juste excellent)
Et dans un registre complètement différent, je souhaite la bienvenue à Spaceman sur ma planète Mars : c’est officiellement le premier humain à y poser le pied. Bienvenue, et surtout bonne chance…
L’atomic blaster ne sera pas de trop je pense. Au pire, s’il se fait défoncer le portrait c’est pas bien grave, on m’a livré une planche de visages de rechange, dont un visage féminin rétro que je tenterai peut-être :) (sinon y a le visage de Bush jr dans le lot, amis du bon goût…).
C’est le petit cadeau que je me suis offert pour célébrer le dernier carton déballé. Ça y est, c’est la rentrée, fini le camping !
Au coin d’un mur de brique, il fait le guet, prêt à mitrailler le premier mutant qui tenterait d’escalader le balcon…
Petite mise à jour de mon armée de monstres et robots venus d’ailleurs ! Pas mal de recrues depuis la dernière fois que j’en ai parlé ici, quelques robots et explorateurs plus ou moins vintage, un Bobba Fett, un bibendum chamallow (Mister Stay Puft pour les connaisseurs), deux Jawas aux yeux lumineux, Mister B. et un marine robot immatriculé JEA 80.
Je ferai plus de photos de tout le monde quand il fera beau, mais aujourd’hui c’était le tour de ce dernier. Un très beau modèle, très texturé, avec plein de détails (les sacoches, les munitions…). Réalisé d’après les oeuvres de l’artiste Ashley Wood qui, je trouve, font forte impression.
Et une petite photo de groupe volée aux archives de l’armée… Bientôt la conquête du monde !
… à des Donuts tout simplement. Cette pâtisserie d’éponge de graisse saupoudrée de sucre coloré, oui, ce truc immonde inventé outre-Atlantique, voilà pour quoi se damnent les hommes de fer blanc. Est-ce une loi secrète de la robotique ? Peut-être, car les robots semblent prêts à tout pour un bon donut géant.
Des « tin toys », de l’absurde et du kitsch pâtissier : c’est officiel, je suis fan de l’oeuvre de l’artiste Eric Joyner.
Il est sorti et il est beau ! J’ai reçu mon exemplaire des Cahiers du Jeu Vidéo volume 3, sous-titré « Légendes urbaines ».
Après la guerre et le foot dans les jeux, cet excellent magazine s’attaque donc au thème de la ville : mythologies, archétypes, inspiration dans les comics, le cinéma, les faits divers, level design et architecture, gameplay et sociologie…
On y trouve de très nombreux dossiers et articles et des plumes très diverses, pour un ensemble qui apporte beaucoup de fraîcheur à l’analyse du jeu vidéo. Je suis donc d’autant plus fière d’avoir été invitée à y participer : on y trouve deux articles de mon cru (signés de mon vrai nom cette fois, alors que c’est Sachka dans IG Magazine… Pas facile de garder un CV cohérent :D).
Je suis encore loin d’avoir tout lu, mais pour l’instant j’ai particulièrement apprécié un article sur le thème du labyrinthe dans le level design des villes, ainsi qu’une interview d’un géographe qui s’est intéressé à la construction des villes imaginaires de romans, films ou jeux.
Comme je le disais dans un précédent billet, en France on est en retard dans ce domaine : les magazines dédiés au jeu vidéo ont du mal à sortir du train-train tests + news + interviews, et c’est rarement passionnant. Beaucoup de fans-boys et peu de journalistes… Du coup j’espère que les Cahiers vont réussir à trouver leur public et à durer, parce que c’est un mag qui n’a vraiment aucun équivalent.
Et ce qui ne gâte rien, ce numéro est vraiment superbe, avec une mise en page très créative et soignée, pop et colorée. Un vrai plaisir à lire et parcourir, un bel objet.
Avis aux amateurs ! 236 pages sans aucune pub, format A5, papier de qualité, 14€.
Quelques aperçus de mes articles, le premier consacré aux Sims et à leur banlieue trop lisse pour être honnête, et le second à de Blob et sa reconquête hippie de la ville. :) D’autres images sont visibles sur la page chez Pix ‘n Love, ainsi qu’une description détaillée.
Ce Noël-ci j’ai reçu de Ray, mon amoureux, un cadeau absolument merveilleux : une poupée de « Big Daddy », comme dans Bioshock ! Une poupée faite main et très fidèle à la petite poupée que l’on voit dans le trailer de Bioshock 2, tenue par ce que l’on imagine être une « Little Sister ».
Pour ceux qui n’auraient pas joué à ce chef d’oeuvre du jeu vidéo, les little sisters sont des petites filles assez flippantes, un peu zombifiées par des manipulations génétiques futuristes, dont la tâche est de prélever certaines substances sur les cadavres qui jonchent les rues de Rapture. Elles sont suivies par leurs protecteurs, les Big Daddy (qu’elles surnomment Mister Bubbles), armures énormes et vagissantes qui tronçonnent tout ce qui menace les gamines. Un couple assez monstrueux et inquiétant, donc, mais pas dénué d’humanité (il faut jouer à Bioshock, vraiment).
Un mystérieux trailer pour Bioshock 2 montrait donc une fillette longiligne regardant une mer aux tons dorés et tenant à la main une inquiétante poupée à l’image d’un Big Daddy : on reconnaît bien le casque, la vrille à la main droite, etc. (voir l’image dans le billet dédié à Bioshock plus bas).
Je n’ai aucune idée du rôle exact que tiendra cette poupée dans le jeu à paraître bientôt (aucun, si ça se trouve), mais j’ai tout de suite adoré son design « post-apocalyptique », genre fait avec des bouts de ficelle ramassés sur les cadavres dans les ruines de la ville, si humain et si naïvement monstrueux. Je ne suis d’ailleurs pas la seule, puisque la poupée fait partie des items virtuels que l’on peut acheter pour son avatar sur xBox 360 (ce qui est fait pour ce qui est du mien :) ).
J’ai donc vraiment failli verser ma petite larme quand j’ai découvert le contenu de mon paquet cadeau… (mais je me suis retenue pour ne pas faire honte à Ray devant sa famille). La poupée est super réussie, très ressemblante, complètement maniable comme un vrai jouet. Elle est même, paraît-il, salie avec du vrai sang (mais ce n’était pas volontaire, me précise-t-on)… Bref j’en suis fan, et elle est assis sur le bureau pendant que j’écris, regardant le mur à travers son casque inexpressif. Elle a du coup eu droit à sa séance photo sur la plage de Cannes, pour faire comme dans la vidéo ! On ne voit même pas qu’il pleuvait, ce jour-là. :)
Un aperçu des différents modèles qui ont permis de réaliser la poupée (à droite)… Il a fallu pour cela une balle de baseball, de la corde, un tire-bouchon, différents tissus soigneusement choisis, un peu de couture, des punaises spéciales, du fil de cuivre, un trombone, de l’élastique rose, de quoi remplir les différentes parties du corps… Et aussi de nombreux essais plus ou moins pénibles je crois. :)
Quand j’étais petite, j’ai passé des heures à jouer avec mes Lego de l’espace. Construire le monorail, customiser les petits véhicules, partir explorer les cratères gris et poser les fondations de la base lunaire…
Je ne sais pas pour quelles raisons les Lego font aujourd’hui l’objet d’un culte nostalgique auprès de beaucoup de gens, à part le fait que c’était une mine inépuisable d’histoires en kit pour enfants solitaires. :) Pour ma part il y a en plus cet arrière-plan spatial qui m’a marquée. J’espère toujours faire un jour partie d’une mission de colonisation en partance pour Mars ou ailleurs. ^^
En tout cas, dans un de ces accès de nostalgie j’ai racheté sur ebay un vieux Lego vintage avec sa tenue de cosmonaute telle que je l’ai connue, afin de d’en faire un pendentif. Ray s’est fait un plaisir de le trépaner (et il a eu l’air d’aimer ça) et de le monter sur une chaîne. Il l’a prénommé Piotr. Et voilà le petit compagnon qui m’accompagne souvent désormais. Mon bijou préféré. ^^
Une petite photo de mes jouets au bureau… ^^ Sont beaux hein ? Les trois plus grands fonctionnent, ils marchent et font de la lumière.
Un autre monstre pittoresque devrait les rejoindre bientôt… (à base de hmm… chamallow… ^^) J’ai hâte de recevoir le paquet !
S’il y a un beau cadeau à s’offrir cet été pour se faire du bien aux yeux, c’est bien l’artbook Café Salé ! Un recueil qui pèse son poids (au sens propre) et qui regroupe une magnifique sélection d’oeuvres des membres de la communauté d’artistes. Le livre n’étant pas thématique, on a une très grande variété de styles et d’univers, c’est un vrai bonheur à parcourir.
J’ai eu la chance d’avoir mon exemplaire dédicacé par, dans l’ordre d’apparition (de droite à gauche), Virginie Martins-B., Grumly et Ntamak… ou comment à partir d’un petit café pris en juillet, on obtient un improbable trio de lapins… ^^
Encore un grand merci à vous trois, c’est un super cadeau :D
Un aperçu de l’artbook :
Je l’ai enfin reçu et il est génial ! Il a une grosse clef qu’on tourne, il marche avec un bruit de machine infernale et son hublot fait des étincelles ! Même sa boîte en carton était délicieusement rétro (bien qu’il ne soit absolument pas authentique ^^).
Je l’adore !
Je ne crois pas que je vais le laisser dans mon diorama martien à la maison, je vais plutôt l’emmener au boulot pour en profiter. :D
Je suis allée la semaine dernière à une super expo organisée à Lille, qui présentait des toys réalisés par des artistes notamment locaux : c’était canon ! Il y avait vraiment des styles très divers, du fétiche à clous à la matriochka funèbre en passant par de la BD sur statue… Et tout ça sur une base de lapin ou de nounours ! De vrais petits chefs d’oeuvre, c’était totalement bluffant. On a acheté quelques qees à la boutique, faute de pouvoir investir dans un bunny. ^^
Du coup un petit robot rose trashouille côtoie ma Blue Lu sur mon bureau… Faudra que je fasse une photo à l’occasion !
L’expo intitulée [Zwe] tournera en France, ne la manquez pas !
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